Note : ★★☆☆☆ — « Cette lecture s’est dévoilée une véritable frustration tant je ressors déçu de mon incursion au sein du domaine familiale et dont la facilité de lecture du style de Stephanie Laurens n’est nullement parvenu à sauver la casse. La romance se dévoile bien trop timide tandis que l’enneigé et enchanteur univers se veut relégué au second plan. C’est dont sans réel intérêt que je suis arrivé au bout de ce volet souffrant d’un cruel manque d’ambition et de passion. »
Résumé :
Au grand manoir de la famille Cynster, où il accompagne ses employeurs, David s’apprête à passer un Noël unique. Si ce lieu enchanteur, empli de joie et de rires d’enfants, offre un cadre idéal pour les fêtes, c’est surtout la perspective de revoir l’inaccessible Claire Meadows, gouvernante des jeunes filles, qui fait naître en lui un fol espoir. En tant que précepteur, il passera une grande partie de son temps en sa compagnie, dans le quartier des domestiques. Et, bien que Claire lui ait donné peu d’encouragements jusqu’à présent, David est bien décidé à vaincre ses réserves… avant de lui demander sa main. Après tout, ne dit-on pas que Noël est la saison des miracles ?
Chronique :
Suite à ma précédente et bouleversante lecture, j’ai ressenti le besoin de légèreté et quoi de mieux qu’une romance historique, qui plus est ce déroulant à noël, pour m’alléger le cœur ? Malheureusement et alors que je pourtant loin d’être exigeant en ce qui concerne ce genre, j’admets ressortir plus que déçu et frustré de cette dernière.
A commencer par une trop grande flopée d’informations dévoilées en si peu de pages. Un nombre impressionnant de protagonistes se veut réuni afin de passer noël en famille et ce, sans aucune réelle explication sur l’identité et les liens de toutes et tous. Ainsi, j’ai ressenti énormément de difficultés à me familiarisé avec chacun d’eux, à tel point que j’ai eu l’impression de faire face à une nouvelle ou un épisode d’une série précédemment parue. Et qu’elle ne fut pas ma déception lorsque j’ai réalisé quelques recherches et que mon impression fut vérifiée. En effet, ce roman est en réalité le vingt-et-unième volet de la saga de Stephanie Laurens, Cynster, dont même pas un quart a été traduit. Néanmoins et une fois quelques repères pris, j’ai tout de même décidé de continuer ma lecture jusqu’à sa dernière page. Il faut dire que la plume de l’auteure n’est pas désagréable et sans être totalement accrochante ou passionnante, celle-ci se lit quand même avec facilité et fluidité. Recherchant avant tout un moment agréable de lecture, je ne peux nier avoir été plus que servi de ce côté.
En effet, les ingrédients semblent réunis pour offrir de tendres moments familiaux quand bien même la magie de noël, que j’attendais avec impatience, m’a semblé assez timide et inexistante et ce, à l’image de la romance promise. Ce point m’a également fortement déçu tant, finalement, l’histoire d’amour prometteuse et évoquée dans le résumé de ce chapitre se dévoile bien souvent relégué au second plan et bien trop survolée. C’est pourquoi, Stephanie Laurens semble confondre efficacité et rapidité a tel point que j’ai ressenti un manque de profondeur flagrant dans l’évolution de la relation qu’entretiennent le précepteur familial ainsi que la gouvernante. Sans m’attendre à ressentir d’incroyables émotions et autres sentiments, je ne pensais pas à faire face à une romance aussi insipide, face à laquelle ne serait-ce seulement une once d’émotions ne soit parvenue à m’atteindre. Pourtant le cadre semblait propice et idéal pour faire naître aventures et passion et collait parfaitement à la saison actuelle mais le résultat reste sans appel me concernant.
Ainsi et malheureusement, cette lecture s’est dévoilée une véritable frustration tant je ressors déçu de mon incursion au sein du domaine familiale et dont la facilité de lecture du style de Stephanie Laurens n’est nullement parvenu à sauver la casse. La romance se dévoile bien trop timide tandis que l’enneigé et enchanteur univers se veut relégué au second plan. C’est dont sans réel intérêt que je suis arrivé au bout de ce volet souffrant d’un cruel manque d’ambition et de passion.
Cette lecture a été réalisée à l’occasion du Cold Winter Challenge – 2022 : Menu Yule – Catégorie Au coin du feu
Cette lecture a été réalisée à l’occasion du Défi : Un hiver au chalet 2022 – Catégorie lecture : Blizzard et bottes d’hiver
Oh ben mince ! Je ne lis que rarement des romances, mais je ne me tournerais pas vers celle-ci. 😁
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Tu fais bien. J’apprécie les romances historiques mais là, ça n’a absolument pas fonctionné.
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L’éditeur ne peut pas le noter que ça fait partie d’une saga ??? Ça m’énerve parce que ce n’est pas si rare que ça.
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Surtout dans ce genre assez maltraité en France !
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Ce n’est pas un genre de lecture qui m’attire, mais je suis désolée que tu aies été déçu…
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Ce n’est pas si grave, cela fait partie du jeu mais merci de ta sollicitation.
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ouch, zut pour la déception… que je comprends fort bien à te lire. En effet, c’est rare en ce qui te concerne et je suis désolée que tu aies eu une telle frustration 😕
quant à la surprise fort mauvaise du tome de série… je compatis, le jour où les éditeurs préciseront clairement sur leurs bouquins que ce sont des sagas en apposant le numéro du tome… 🙄 bref vite, un autre livre pour oublier ça !
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Ne le sois pas ! Cela permet de faire du tri dans mes étagères.
Je trouve surtout regrettable de m’être fait duper de la sorte et serais plus vigilant à l’avenir !
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Effectivement, c’est une affreuse surprise. ça m’est déjà arrivé et c’est frustrant. Je l’ai fait remarquer à Harlequin et ils m’ont répondu qu’ils ne mettaient pas les numéros de tome car ils peuvent t’être lu indépendamment. C’est encore une preuve que non… J’espère que tes autres lectures s’avéreront meilleures.
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Frustrant et tellement rageant ! Encore plus lorsque tu me transmets la réponse de la ME. C’est quand même mieux de découvrir l’histoire générale dans le bon ordre. Cela dit, pas sûr que cela aurait sauvé ma rencontre avec l’auteure 😉
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Le vingt-et-unième volet, rien que ça ! En effet, pas facile de se retrouver d’un coup au milieu d’une famille qui est présentée depuis vingt tomes. Finalement, sans préciser cette information, l’éditeur joue un jeu dangereux, car c’est un risque que le lecteur ne revienne pas sur cette auteure et cette série. Et surtout qu’il n’apprécie pas le travail dans sa globalité.
Dommage aussi pour la romance qui n’est pas mise en avant, alors que c’est le propre même du genre. Tu auras essayé, c’est déjà pas mal d’être arrivé à le terminer. 😉
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C’est tellement ça ! Je pense que l’éditeur a voulu surfer sur l’effet de romance de noël mais le résultat n’est absolument pas à la hauteur. Peut-être aurais-je été plus indulgent si j’avais précédemment rencontré les protagonistes.
En attendant, il est clair que je laisse de côté cette série.
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Dommage pour eux. 🤭
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Ah mince ! le résumé donnait envie… un du coup que je ne mettrai pas dans ma liste de mes envies 😅
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Si je peux te faire réaliser quelques économies, je ne suis pas contre 😉
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C’est exaspérant ces éditeurs qui ne remettent pas en contexte un tome comme si sur un malentendu, le lecteur ne réaliserait pas le problème !
Une romance dont la romance est reléguée au second plan, j’avoue que ça n’attire pas outre mesure sauf à m’être attachée aux personnages découverts lors des tomes précédents…
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Ah mais clairement, je m’attendais à un one-shot mais quand j’ai vu l’importance de la fresque familiale dévoilée, je me suis très vite doute de la supercherie…
Clairement, il y a bien mieux dans le genre. Heureusement que la plume de l’auteure se lit facilement.
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C’est toujours dommage quand un livre ne nous plait pas. Mais là, je peux comprendre ta déception quand on s’attend a lire quelque chose et qu’au final on ne retrouve pas ces éléments dans le récit…
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Ah mais le résumé est plus que trompeur et puis il n’est nullement mention qu’il s’agit d’un tome intégrant une série.
Heureusement, sa lecture s’est rapidement réalisée.
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Oups sacré dérapage, je comprends ta déception n’aimant pas non plus la précipitation après de belles promesses…
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Je suis tellement fan de ta métaphore 😂
Clairement, cette lecture signe ma pire déception du genre !
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