Note : ★★★★☆ — « Bien que la guerre gronde davantage dans ce dernier volume, Tamara McKinley offre une intrigue toujours aussi passionnante et touchante et ce, grâce à l’arrivé d’un nouveau personnage féminin des plus touchant et attachant. Malgré la dureté de la période établie et des sujets évoqués, m’ayant offert de vives émotions, j’apprécie toujours autant me plonger dans la tendre et mélancolique ambiance de ce bienveillant univers. »
L’amour plus fort que la guerre
Résumé :
Sud-est de l’Angleterre, 1943. La Seconde guerre mondiale continue à faire des ravages mais Peggy Reilly, qui dirige la Pension du Bord de Mer, s’inquiète surtout pour sa jeune sœur, Doreen.
Non sans raison. Cette dernière doit en effet quitter Londres dans des conditions traumatisantes pour se réfugier à Cliffehaven.
Mais l’ombre de son ancien mari la poursuit, et les lettres que Doreen reçoit de lui se font de plus en plus menaçantes. La jeune femme prend peur, qui sait son ex-mari capable de tout… du pire surtout !
Grâce au soutien de Peggy et des occupantes de la pension, Doreen parviendra-t-elle à prendre un nouveau départ malgré les tourments du passé qui ne cessent de la hanter ?
Chronique :
A l’aide de ces deux précédents volets, Tamara McKinley et sa série La Pension du bord de mer est parvenue à me faire apprécier ses touchantes intrigues se déroulant durant la Seconde Guerre Mondiale. Pourtant et bien que je ne dois pas un adepte de cette sombre période, l’auteure réussit une nouvelle fois le paris de me faire vivre de tendres émotions malgré la dureté de ce nouveau chapitre.
En effet bien que toujours aussi riche historiquement parlant, cette nouvelle lecture m’a semblé bien davantage pesante tant le sujet de la guerre et les conséquences de ce conflit sont bien plus présents qu’à l’accoutumée. Le quotidien de nos pensionnaires se veut ainsi loin de tout repos et j’ai fortement apprécié traverser les nombreuses épreuves dépeintes en leur touchante compagnie. Avec réalisme et émotion, Tamara McKinley délivre un récit authentique et poignant dans lequel amour et guerre se mêle à merveille. Mes sentiments n’ont cessé d’alterner entre douceur, tristesse et mélancolie. Ainsi, j’ai été sensible à ce savoureux panel d’émotions venu m’assaillir tout le long de cette lecture. Il faut dire que je commence à être familier avec l’univers et ses protagonistes. C’est pourquoi et malgré l’importante galerie de personnages dévoilée, je me suis plongé avec facilité dans les nouvelles aventures de cette dernière et ce grâce a l’arrivée d’un nouveau personnage des plus attachant et touchant.
En effet, ce nouveau volet permet de mettre en lumière un personnage féminin au passé trouble et à la construction éloquente et pertinente, Peggy, la sœur de Doreen. Dès le premier instant, j’ai de suite été intrigué et saisi par la profondeur et la complexité de ce personnage dont la sombre et touchante histoire m’a plus que captivé et diverti. De plus, son apparition permet à Tamara McKinley d’aborder de forts sujets tout en lui permettant de mettre en avant la place de la femme au sein d’une société en plein conflit. Mieux encore, l’auteure fait graviter autour de cette dernière arrivée bon nombre de protagonistes précédemment rencontrés et que j’ai apprécié retrouver quelques instants. Les sentiments humains qui composent cette tendre bande de survivants se dévoilent toujours aussi bienveillants et débordent de bonté, permettant une tendre solidarité et une douce ambiance, savoureusement mis en lumière par la douceur de la plume de l’auteure.
Ainsi et bien que la guerre gronde davantage dans ce dernier volume, Tamara McKinley offre une intrigue toujours aussi passionnante et touchante et ce, grâce à l’arrivé d’un nouveau personnage féminin des plus touchant et attachant. Malgré la dureté de la période établie et des sujets évoqués, m’ayant offert de vives émotions, j’apprécie toujours autant me plonger dans la tendre et mélancolique ambiance de ce bienveillant univers.
Cette lecture a été réalisée à l’occasion de mon partenariat avec les Editions de L’Archipel.
Tu me donnes terriblement envie de me lancer même si j’avoue que la seconde guerre mondiale ne me parait pas une super idée pour me rebooster le moral. Tamara McKinley a un talent c’est certains. Je note pour plus tard. 😉 merci 🤩
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Je peux comprendre et pourtant il est vrai que, malgré le contexte historique visité, l’auteure apporte une savoureuse œuvre.
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Je n’ai toujours pas commencé cette saga, qui est pourtant dans ma liste d’envies ! 😁
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Si ça peut te rassurer, je l’ai débutée en cours de route et cela ne m’a nullement déranger tant chaque tome se veut indépendant dans son intrigue principale 😉
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Une amie m’a parlé de cette saga qui compte déjà 9 tomes il me semble, et ton avis me confirme mon envie de me lancer !
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Si ça peut t’aider à te décider et au total, cette série comporte, jusqu’à ce jour, 14 volets 😉
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Ah oui 14 !? Quand même ! J’ai commandé le premier tome du coup ^^
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Nous sommes bien en accord, cela fait plaisir ! ^^
Je ne suis pas la seule à avoir senti un tome plus dramatique, plus pesant et pourtant, c’est du bonheur, de la bienveillance en retour.
Hâte de lire la suite !
PS : Tu as fait une petite erreur dans ta chronique, le personnage féminin mis en avant est Doreen et non pas Peggy, c’est inversé. (avant dernier paragraphe) C’est juste une remarque pour le sens de ta phrase. 🙂
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Clairement ton avis m’a totalement rassuré quant à la dimension bien plus dramatique que précédemment qui permet de relancer la dynamique.
Je prends note de ta remarque afin de corriger cela. Merci de ton attention 😉
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J’adore cette période de l’histoire qui me rappelle les récits de mes grand-mères : je vais donc ajouter ce livre sur ma liste.
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Nul doute que tu apprécieras ce bienveillant univers malgré la sombreur de la période esquissée.
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Je suis fan de cette série, plus on plonge dans la Seconde Guerre mondiale plus je suis en addiction de connaître la suite.
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J’ai exactement le même sentiment alors que je ne suis vraiment pas un adepte de cette période historique. Comme quoi une belle plume peut parvenir avec aisance à nous faire sortir de notre zone de confort.
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Tout à fait, dernièrement j’ai lu « Les promises » de Jean-Christophe Grangé et je suis sortie complètement de ma zone de confort.
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S’agissant d’un tome 3, je ne fais que survoler ton avis 😉 J’ai déjà lu cette autrice et je pourrais me laisser tenter par cette série, ça a l’air du genre de lecture à faire bien tranquille dans un transat 🙂
Est-ce que c’est le dernier tome?
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Alors il s’agit en réalité du dixième tome mais les volumes peuvent se lire indépendamment les uns des autres. En tous les cas cela ne m’a pas dérangé de débuter en cours de route.
La série comporte 14 tomes jusqu’à présent 😉
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14 tomes! J’avoue que ça douche un peu mon enthousiasme 😆
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J’ai hâte de découvrir la plume de la romancière, dont j’ai un titre ou deux dans ma pile à lire. Ce roman a l’air touchant.
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Je suis certain que sa prose saura également te touchée !
Je reste aux aguets quant à ta rencontre avec cette dernière.
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Une mécanique qui semble te séduire. pour ma part, j’ai vraiment trop de mal avec l’époque utilisée comme décor pour y aller de moi-même et ce malgré ta chronique plus que tentatrice ^^
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Je t’avoue que sans ce partenariat, je ne me serais jamais laissé tenter par cette période historique alors qu’en réalité et malgré la dureté de celle-ci, de douces histoires peuvent êtres racontées.
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Les partenariats ont ça de bon, nous sortir de nos zones de confort. Tu as raison d’en profiter !
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